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Numérologie - chemins de vie

Pour connaître son chemin de vie numérologique, on fait la somme de tous les chiffres de sa date de naissance.
On ne réduit pas si le résultat donne un maître nombre (11, 22, 33, 44) sinon on réduit pour obtenir un chiffre (ce qui correspond mathématiquement à un calcul de congruence modulo 9).
Exemple 1 : 20 novembre 1948 => 20 / 11 / 1948 => 2 + 0 + 1 + 1 + 1 + 9 + 4 + 8 = 26 => 2 + 6 = 8 => toutes les personnes nées ce jour-là ont pour chemin de vie 8.
Exemple 2 : 19 janvier 1984 => 19 / 01 / 1984 => 1 + 9 + 0 + 1 + 1 + 9 + 8 + 4 = 33 => toutes les personnes nées ce jour-là ont pour chemin de vie 33, on ne réduit pas à 6.
Remarques : si le résultat donne 29, 38 ou 47 alors, puisque 2 + 9 = 3 + 8 = 4 + 7 = 11, le chemin de vie associé est 11, on ne réduit pas à 2. On constatera, dès lors, que, pour obtenir un chemin de vie 2, le résultat doit faire 20 (2 + 0 = 2).

Maintenant, chaque chemin de vie a un sens différent. Le chemin de vie est une indication importante à propos de notre vibration (ou taux vibratoire, fréquence d’être) individuelle donc sur notre rôle divin sur Terre, notre mission de vie choisie là-haut par notre âme avant notre actuelle incarnation.
Voici, dans le tableau suivant, des informations décrivant l’énergie — donc la vibration — liée à chaque chemin de vie. Ce qui nous renseigne sur la nature générale d’une destinée individuelle.

1 : Le soi, l’unité, l'intériorisation, la volonté originelle, l’initiative et la détermination, la créativité et plus globalement l’activité.
L’autosuffisance (de l’instinct de survie à l’intuition au service de soi), l’autoréalisation. L’indépendance, l’individualité.
L’ordre et le commandement (l’autorité).

2 : La connexion, l’association, la collaboration, la coopération, l’union.
La reconnaissance d’autrui et de son énergie, la réceptivité et la sensibilité qui en découlent. L’écoute (l’intuition au service d’autrui), la patience et la protection (l’instinct de conservation). Le devenir dans l’expérience partagée.
L'acquisition du savoir. Prendre connaissance.

3 : L’expression, la communication, le témoignage, la transmission du savoir, l’instruction et la formation. Avoir des idées et des projets.
Le cercle réduit familial (la trinité) et amical, la sociabilité (le goût du relationnel).

4 : L’ouvrage, la réalisation, la concrétisation.
La volonté ferme pour dominer la matière, la persévérance et la recherche de la stabilité qui en découlent. L’organisation.

5 : La mobilité, le changement, la transformation.
La guérison (le magnétisme universel et réparateur).
La tempérance, la médiation, l’adaptabilité, l’ouverture d’esprit. Le goût pour les voyages.

6 : L’harmonie (dont esthétique). La famille élargie, l’amour comme union des opposés, la capacité à rassembler et fédérer, l’adaptabilité au service de la conciliation.
Le sens de la famille et de l’amitié, le sens des responsabilités.

7 : La vie intérieure, l’inspiration (la lumière astrale).
La spiritualité (méditation, philosophie, religion). Le sens de l’engagement. Le goût pour la politique, la défense d’un idéal, de ses valeurs.
La capacité à discerner.

8 : L’abondance, la réussite (faire ce dont j’ai besoin quand j’en ai envie).
La combativité (entreprendre et assumer).
La répartition (accumuler puis redistribuer), la gratitude (savoir rendre).

9 : L’empathie et le dévouement.
L’accomplissement entendu comme l’altruisme (l’aide à devenir, à s’épanouir).
La charité (savoir donner sans rien attendre), la solidarité.

11 : Chemin de vie dit angélique. La communion avec le divin.
S’inspirer pour inspirer les autres. Être un guide, procurer des soins. Excellent intermédiaire entre le monde terrestre et le monde céleste.

22 : Chemin de vie dit archangélique. La réalisation divine. La créativité au service du collectif.
La capacité d’unir et de bâtir pour de nobles causes.

33 : Chemin de vie dit christique. Le sens du sacrifice. La connaissance divine issue directement de la communication avec le divin. Avoir les idées et la parole claires pour éclairer les autres. Être un enseignant, un guérisseur, un meneur.

44 : Peu d’informations sur ce chemin de vie concernant très peu de monde. Se rapporte à une énergie comparable à celle des enfants clairvoyants. 


Des précisions maintenant concernant les chemins de vie maître nombre et leur mission de vie :
Voici le sens général des chemins de vie « maîtres nombres » :
11 : Chemin de vie dit angélique. La communion avec le divin.
S’inspirer pour inspirer les autres. Être un guide, procurer des soins. Excellent intermédiaire entre le monde terrestre et le monde céleste.

22 : Chemin de vie dit archangélique. La réalisation divine. La créativité au service du collectif.
La capacité d’unir et de bâtir pour de nobles causes.

33 : Chemin de vie dit christique. Le sens du sacrifice. La connaissance divine issue directement de la communication avec le divin. Avoir les idées et la parole claires pour éclairer les autres. Être un enseignant, un guérisseur, un meneur.

44 : Peu d’informations sur ce chemin de vie concernant très peu de monde. Se rapporte à une énergie comparable à celle des enfants clairvoyants.


Compléments :
11 : Pacifie en ayant bien les pieds sur Terre, en redonnant confiance et en exprimant de façon rassurante la vérité
et sa foi. Inspire par le verbe juste.

22 : Pacifie grâce à une grande capacité d'écoute et en favorisant la reconnexion et la protection
à / de la nature et aux / des animaux. Inspire par la création artistique, l'usage des parfaites proportions.

33 : Pacifie en incarnant la sagesse triomphant sur la matière. Inspire par la transmission d'outils thérapeutiques et métaphysiques.

Comprenons qu’en évoluant dans les chemins de vie classiques — autrement dit, dans le cycle karmique —, nous apprenons, dans tous les cas, à passer du service de soi (S.D.S.) au service des autres (S.D.A.). Dans l’évolution de l’âme, succèdent à ses chemins de vie classiques les chemins de vie 11, 22, 33 et 44 dits « maîtres nombres » en raison des nombres associés, relatifs à des vibrations sans karma. Les personnes en ces chemins de vie « maîtres nombres » sont censées œuvrer particulièrement dans le S.D.A. Leur mission de vie est marquée par l’empathie et un certain sens du sacrifice [Lire Chapitre 5, 1. Calcul de son chemin de vie].
Je cite à présent deux passages de l’Évangile selon Luc :
— « Si quelqu'un a beaucoup reçu, on exigera beaucoup de lui ; et plus on vous aura confié, plus on demandera de vous. » (Luc 12:48 BDS) Ceci explique le passage du S.D.S. au S.D.A. en passant d’une vibration classique à une vibration « maître nombre » ;
— « Restez en tenue de travail. Gardez vos lampes allumées. Soyez comme des serviteurs qui attendent le retour de leur maître parti pour une noce. Dès qu'il arrive et qu'il frappe à la porte, ils lui ouvrent. Heureux ces serviteurs que le maître, en arrivant, trouvera en train de veiller ! Vraiment, je vous l'assure, c'est lui qui se mettra en tenue de travail, les fera asseoir à table et passera de l'un à l'autre pour les servir. Peu importe qu'il rentre à minuit ou vers trois heures du matin : Heureux ces serviteurs qu'il trouvera ainsi vigilants ! » (Luc 12:35-38 BDS) Ici, nous pouvons comparer les serviteurs aux personnes aux chemins de vie classiques et les maîtres à celles aux chemins de vie « maîtres nombres ».

On peut surnommer les personnes en chemins de vie classiques des serviteurs indirects de Dieu, et les personnes en chemin de vie « maîtres nombres » des serviteurs directs de Dieu.

Je reviens sur la notion de mission de vie. Soyons prudents avec elle. L’ego peut s’accaparer de cette idée, de sorte qu’on se sente obligés d’accomplir une tâche comme un poids qu’on se traînerait.

Dans sa vidéo Youtube appelée Comment savoir quelle est ma mission de vie ?, la conférencière sur ce qu’elle appelle la communification Isabelle Padovani nous dit que nous sommes des êtres d’élan et de contribution. De cette façon, je suis mon élan altruiste et je contribue modestement, en faisant ma part et en me considérant ni plus ni moins une goutte d’eau dans l’océan ; donc en ayant bien conscience que je fais partie du Tout mais sans m’infliger une quelconque pression entretenue par l’idée insidieuse que je dois accomplir ma mission de vie. Il est fort possible, en plus, qu’en me disant cette dernière chose je m’éloigne justement de ma mission. Car on parle d’une mission relative à sa part divine dont sa réalisation demande un lâcher prise incontournable. Un grand nombre de gens œuvrent dans l’entente et l’entraide de manière spontanée, sans se poser moult questions concernant leur mission de vie.
N’oublions pas, également, que, si mission universelle il y a (concernant donc chacun de nous), elle est d’aimer, de faire triompher l’amour en les humains, pour eux, entre eux et envers tous les êtres vivants (animaux, minéraux, végétaux). D’où le commandement des commandements du Messie
Yeshua : « [...] Aimez-vous les uns les autres; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres. » (Jean 13:34 LSG)

Une remarque concernant la langue hébraïque en reprenant l'expression de goutte d'eau dans l'océan, ou dans la mer. Chacun de nous ayant un Esprit est une partie de la conscience du Tout. Cette dernière — relative aux Énergies d'en haut ou du Ciel (appelez cela comme vous préférez) — est souvent symbolisée par l'eau. Chacun de nous est, par conséquent, une goutte d'eau de la mer.
De plus, si Yeshua (Jésus) est l'enfant de Maryam (Marie), nous tous sommes aussi ses enfants. Car, en hébreu, « mar » = « goutte » et « yam » = « mer ». Maryam est elle-même une goutte d'eau de la mer.
Voilà, à travers l'hébreu, un message d'humilité, de simplicité, d'apaisement par rapport à notre perception de nous-mêmes.
Car, si le Seigneur souhaite qu'on s'entende et s'entraide, il souhaite aussi qu'on se repose et s’amuse. 

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