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  • La peur : à l'origine de tout acte malveillant

    3087368102_24b01939cc_b.jpgSi la peur n’engendre pas forcément une conduite malveillante chez la personne qui la porte, il existe de la peur dans toute attitude malveillante. Dans la très célèbre série de films Star Wars, le personnage Maître Yoda nous dit : « La peur est le chemin vers le côté obscur : la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance. » En affirmant cela, on dirait que Maître Yoda remonte verticalement les différents corps énergétiques associés aux Énergies du bas (Corps terrestres). La peur est concernée par les énergies d’un chakra racine (premier chakra) sous-actif. On retrouve la colère ou encore l’angoisse dans les énergies d’un chakra sacré (second chakra) sur-actif. Quant à la haine, elle est entretenue dans le mental à travers les énergies d’un chakra solaire (troisième chakra) sur-actif. Ce sont bien ces chakras qui sont reliés aux Corps terrestres – à savoir, du moins large au plus large, les corps éthérique, émotionnel et mental. Et ces derniers, puisque contenant l’ego, forment le corps potentiellement souffrant. Une conduite malveillante est forcément l’œuvre de l’ego. Et être dans la colère et la haine n’est sympathique pour personne – ni pour celle qui les nourrit ni pour l’entourage qui en subit les conséquences.
    Par ailleurs, c’est plus d’une fois de l’inconnu dont on a peur. Ce qui est inconnu est ce qui est ignoré (on en revient à l’ignorance) donc ce qui n’est pas encore conscientisé donc mis en lumière et transcendé. La colère est plus passagère que la haine. On peut schématiser les choses ainsi : la colère, c’est davantage d’émotions que de mental, la haine le contraire. D’où leurs liens respectifs avec les chakras sacré et solaire. On a de la haine ou de la colère parce qu’on ne comprend pas l’autre, parce qu’on ne part pas réellement à sa rencontre et qu’éventuellement l’autre lui-même ne part pas à sa propre rencontre. Quelle est la raison fondamentale de cette impossibilité à se comprendre, à aller à la rencontre de l’autre ? La peur.
    Je cite à nouveau Maître Yoda : « L'attachement mène à la jalousie. À l'ombre de la convoitise, il grandit. » Seuls les egos s’attachent entre eux. Quant à la jalousie, avec ses conséquences faites éventuellement de colères et de haine, elle peut tout simplement s’expliquer par la peur de perdre l’autre à travers le lien qu’on a avec lui. Seulement, l’autre ne nous appartient pas. Quid de la peur de perdre l’autre en raison de la mort ? Maître Yoda est clair : « La mort est un élément naturel de la vie. La peur de perdre l'autre mène au côté obscur. »
    La haine et la colère peuvent être également le fruit de l’inacceptation d’une situation plus globale, par exemple d’une situation sociale difficile, qui n’est pas liée directement à des individus. Il ne s’agit pas de juger cette haine ni cette colère. Elle peut, par certains côtés, se comprendre. Elles nourrissent cependant de la souffrance, forcément relative à une peur ; en l’occurrence, celle des lendemains encore plus difficiles. Aussi, l’incertitude nourrit souvent des peurs. Mais qui cherche à être rassuré si ce n’est le mental-ego ? Cela ne veut pas dire qu’il faut accepter n’importe quelle situation. Mais il faut toujours la transcender un minimum pour pouvoir la changer. Il faut la changer intérieurement pour ensuite pouvoir la changer extérieurement, dans la matière. Et cette transcendance est impossible sans s’assurer des instants de paix intérieure. Maître Yoda nous dit : « Exerce ta volonté à renoncer à tout ce que tu redoutes de perdre un jour. »
    On peut prendre une quantité d’exemples avec la peur, s’intéresser à toutes ses formes. Tout ceci était pour dire ici que, derrière tout agissement malveillant, il existe un fond de peur. Pour que les êtres humains s’aiment dans leur ensemble, ils doivent savoir se pardonner. Et ce, via l’authentique pardon, celui qui résonne dans le cœur. Antoine C.

  • Comme une partie de tennis (numérologie)

    2101938-44033976-1600-900.jpgImaginons, un match de tennis. Comparons :
    — les deux joueurs qui s'affrontent à deux personnes avec chemin de vie classique ;
    — leurs échanges et les points que marque chacun d’eux au karma mutuellement balayé et nettoyé — autrement dit, aux énergies, négatives ou positives, de transformation d’une distorsion en qualité ou d’une qualité en distorsion ;
    — l'arbitre du match à une personne avec chemin de vie « maître nombre », présent pour « compter les points » et veiller à ce que le jeu se joue avec un minimum de règles assurant l'équité. Ce jeu peut être comparé au « jeu de Dieu » avec les règles karmiques et de raffinement du matériau spirituel.

    Une personne en chemin de vie 1 peut donc être l'un des joueurs, qui, en l'occurrence, joue son tout premier match de sa carrière (toute première incarnation). Donc son entraîneur (pouvant être comparé à la providence divine) lui excuse toutes ses erreurs (ses mauvais placements sur le terrain, ses balles loupées, etc.).  Il n’empêche que, totalement méconnu pour son adversaire, il est imprévisible et peut surprendre ce dernier. Il lui crée donc des difficultés — comparables à la génération de karma propre au rôle divin de la personne en chemin de vie 1.

    Un arbitre corrompu, qui n'est pas impartial, peut être, quant à lui, comparé à une personne en chemin de vie « maître nombre » qui ne s'est pas « éveillée » et qui, donc, vit excessivement dans l'ego, évolue trop selon son Énergie du bas.

    Enfin, une personne concernée par un walk-in peut être comparée à un joueur devenu arbitre mais qui, parfois, veut rejouer un peu. Nous ne pouvons pas, cependant, être arbitre et joueur à la fois. La personne en question s'aligne dès lors qu'elle reste en place — en l'occurrence, dans son rôle d'arbitre — au cours de périodes plus longues. Antoine