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Numérologie et loi d’Ohm

Introduction et rappel de la loi d’Ohm

En comparant le chemin de vie à une tension (une force, une différence de potentiels) et la trilogie (ou conjoncture) à une intensité (rapport entre une quantité électrique et une durée), je vais appliquer ici la loi d’Ohm à la numérologie des Anciens (la numérologie abordée dans ce livre).
Mais d’abord, rappelons ce qu’est la loi d’Ohm. Elle une célèbre loi physique qui, dans un courant électrique continu, nous fournit la relation U = R x I, avec U, R et I désignant respectivement une tension, la résistance d’un conducteur ohmique et une intensité. De cette relation, nous obtenons celles-ci : I = U / R et R = U / I. De plus (ce qui obéit à des règles à la fois mathématiques et physiques), pour une même valeur de U :
— plus R est grand, plus I est petit et moins les ampoules éventuellement présentes sur le circuit électrique sont lumineuses ;
— analogiquement, plus R est petit, plus I est grand et plus les ampoules éventuellement présentes sur le circuit électrique sont lumineuses.
On peut alors se demander ce que R peut numérologiquement représenter.


Explication du calcul de la loi d’Ohm appliquée
à la numérologie des Anciens : C = R x S

Pour obtenir ce R numérologique, je ne remplace pas tout-à-fait U par le chemin de vie et I par la trilogie. En réalité, je remplace :
— I par la somme des trois chiffres formant la trilogie. Car, si parfois nous pouvons comparer la trilogie avec un nombre compris entre 111 et 999, je considère ici que l’intensité entre des trilogies comportant exactement les trois mêmes chiffres quel que soit l’ordre est la même. En effet, je rappelle que les trois chiffres d’une trilogie représentent chacun les énergies de notre Corps électromagnétique (regroupant Corps éthérique, émotionnel et mental), notre Corps céleste (ou astral) et notre Corps physique. Aussi, nous savons que l’énergie d’un de ses corps impacte sur celle des autres. La bienveillance à l’égard de soi et des autres individus concerne ces trois corps certes, pour chacun, de façon différente mais sans qu’à travers ceci il y ait de hiérarchie.
Par exemple : les trilogies 234, 243, 324, 342, 423 et 432 sont de même intensité, valant alors 2 + 3 + 4 = 9.
— U par le chemin de vie multiplié par 100 (même s’il vaut 11, 22, 33 ou 44) pour des commodités de manipulation numérique (sinon on obtient souvent une valeur de R comprise entre 0 et 1 donc un nombre décimal) et sans que cela ne change la logique du raisonnement et des conclusions en question. En reprenant la trilogie de l’exemple ci-dessus, son chemin de vie correspondant est 9 donc R = 900 / 9 = 100,

Exemple 2 : trilogie = 781 donc chemin de vie = 7 et R = 700 / 16 = 43,75.
Exemple 3 : trilogie = 391 donc chemin de vie = 4 ou 22. Pour connaître le chemin de vie exact, nous ajoutons tous les chiffres de la date de naissance qui nous intéresse ici. Admettons que nous obtenions 22. Dans ce cas, R = 2200 / 13 = 169,23…


Listage de toutes les combinaisons possibles associant C, R et S

Soient, dans la suite de ce document,
C.d.v. = chemin de vie
C = chemin de vie x 100
S = somme des chiffres de la trilogie et
La loi d’Ohm appliquée à la numérologie fournit cette relation : C = R x S.
De plus, une trilogie est comprise entre 111 et 999.
De plus, 1 + 1 + 1 = 3 et 9 + 9 + 9 = 27 donc 3 ≤ S ≤ 27.
Nous savons que, pour un même chemin de vie, nous pouvons avoir plusieurs trilogies. Donc, pour une même valeur de C, nous pouvons avoir plusieurs valeurs de S.
Nous retrouvons, dans le tableau suivant, toutes les combinaisons possibles, avec tous les résultats de R en fonction de C et S.
Le total de ces combinaisons est un maître nombre, à savoir 33. Par ailleurs, il ne faut pas s’étonner d’obtenir uniquement deux lignes pour les Chemins de vie 1 et 2. Car, excepté pour l’an 0, S ne peut pas valoir 1 ni 2.

TabledOhmNum.png


Interprétation énergétique et vibratoire de R

Plus R est grand, plus on peut s’ancrer facilement. On peut plus facilement évoluer dans les ténèbres, on saura plus facilement faire face à eux et ainsi les transcender. Plus R est grand, plus ses actions peuvent toucher efficacement la matière que l’esprit. Quand je dis « efficacement », cela signifie qu’elles vont toucher la matière pour mieux la transcender. En d’autres termes, elles touchent quand même l’esprit mais moins directement que dans le cas où R est plus petit.
Plus R est grand, plus la matière semble supportable. Mais alors, on peut davantage s’en accommoder et, avec elle, évoluer dans les ténèbres sans chercher spécialement à les transcender. On peut davantage vivre dans l’ego. On peut, inversement, avoir particulièrement conscience de lui — ce qui lui permet de jouer son rôle le plus agréable, en se mettant à l’écoute de notre âme. Tout ceci dépend de notre degré de conscience, de notre volonté de nous aligner. De plus, il faut bien mettre R en relief avec les autres paramètres, C et S.
Plus R est petit, plus on peut risquer d’être « perché ». La matière nous est moins facilement supportable. D’un autre côté, avec un S relativement grand, les expériences intuitives, de clairressenti, de clairaudience, de clairvoyance peuvent nous être plus facilement accessibles.

Dans tous les cas :
C.d.v. et donc C nous indiquent la nature du corps subtil le plus élevé de la personne (astral ou céleste), la quantité d’énergie du haut cumulée par l’âme de la personne à travers l’ensemble de ses incarnations précédentes, autre-ment dit la quantité de ténèbres transcendées dans les vies antérieures, son taux vibratoire qui en résulte à sa naissance et dans la vie présente, et donc sa situation par rapport à l’Ascension.
S nous indique :
— la capacité à activer certains centres énergétiques (chakras) plus que d’autres. Quel que soit C qui lui est associé, plus S est élevé, plus les chakras en question sont ceux du haut. L’inverse est vrai aussi ;
— l’intensité donc la quantité d’énergie du haut obtenue dans un temps donné. Quel que soit C qui lui est associé, plus S est élevé, plus l’information céleste va se manifester à travers les chakras du haut. L’inverse est vrai aussi.


Le cas du phénomène walk-in (commutation de fréquences)

Les personnes concernées par un phénomène walk-in ont leur âme (Esprit du haut) qui vibre à une fréquence non karmique [Lire Chapitre 1, 5.2.2.1. Qu’est-ce qu’un walk-in ?]. Donc, dans le précédent calcul, leur valeur de C peut être remplacée par 1100, 2200 ou 3300. On prend en effet comme C.d.v. 11, 22, ou 33. Ce qui correspond à des fréquences non karmiques (on rappelle qu’on parle de C.d.v. « maîtres »). Au passage, il peut être difficile de connaître le C.d.v. à utiliser dans tel ou tel cas. Cela dépend du ressenti et du vécu (nombre d’expériences lourdes) de la personne.
On obtient donc deux valeurs de R, selon qu’on prend l’un des 3 précédents C.d.v. ou le C.d.v. classique de la personne (valant l’un des 9 chiffres). La différence entre les deux valeurs de R fournit une indication sur la manière avec laquelle est vécue le walk-in. Plus cette différence est grande, plus le walk-in peut être difficilement vécu, l’écart vibratoire relatif aux C.d.v. classique et C.d.v. « maître » utilisés étant plus important. En outre, c’est comme si on utilisait la loi d’Ohm non plus dans un courant continu mais dans un courant alternatif (dans ce cas, la résistance s’appelle, au passage, impédance).

Exemple :
Trilogie = 279 donc S = 18 et C.d.v. classique = 9 donc C = 900.
Donc R = C / S = 900 / 18 = 50.
On suppose un cas de walk-in avec C.d.v. « maître » 33.
Si C.d.v. = 33 alors C = 3300 donc R = C / S = 3300 / 18 = 183,33.
Faisons la différence entre les deux valeurs de R obtenues : 183,33 – 50 = 133,33.
On suppose, avec la même trilogie, un cas de walk-in avec C.d.v. « maître » 11. Si C.d.v. = 11 alors C = 1100 donc R = C / S = 1100 / 18 = 61,11.
Faisons la différence entre la première et la dernière valeur de R obtenues : 61,11 – 50 = 11,11.
Or, 11,11 < 61,11. Il peut paraître plus sympathique d’effectuer un walk-in avec C.d.v. « maître » 33 plutôt que 11. En même temps, la différence entre les deux résistances obtenues est plus grande dans le premier cas. 

Pour une même trilogie, la différence entre les deux résistances calculées dans le cas d’un walk-in sera toujours plus grande avec un C.d.v. « maître » plus grand. Ce qui peut être plus difficilement supportable au quotidien. Sur-tout que, si la nouvelle fréquence propre au C.d.v. « maître » est vraiment atteignable par la personne concernée par un walk-in, ce n’est pas pour autant que, dans la pratique, la valeur de R a changé. Effectivement, R reste adapté au C.d.v. au départ.

Hypothèse : plus R est grand, plus le souvenir conscient du walk-in est possible. En même temps, dans le cas des E.M.I. par exemple, on sait qu’il y a un souvenir donc tout dépend de la nature du walk-in. Ezard C.

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