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METAPHYSIQUE DES ANCIENS - Page 4

  • Puisque tout doit arriver... (1/2)

    « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé. (Évangile selon Matthieu, 5 :17-18)

    Le « iota » cité est la lettre de l’alphabet latin correspondant à Youd, la 10e lettre de l’alphabet hébraïque (aleph-beth). Et 10 succède à 9. Mais, pour s'assurer que « tout soit arrivé », le but est de faire augmenter le taux vibratoire de cette planète... avec le maximum d'êtres humains accédant à la vibration angélique, associée au chemin de vie 11. Et 11 succède à 10. La 11e lettre hébraïque est Kaph, qui est la manifestation de la puissance de Youd.
    Et si Youd représente une main, Kaph représente une main tendue. En vibration angélique — puis en vibrations archangélique et christique —, on est censé tendre la main ; autrement dit, on s'incarne pour les autres, dans le service des autres.
    Ensuite, Yeshua, en n’abolissant pas la Loi mais en l’accomplissant, s’ins-crit dans la lignée de Moshe (Moïse).
    Sa seconde phrase, toujours dans le même passage évangélique, peut bien faire allusion à l’alignement, relatif au Ciel et à la Terre qui « ne passeront point ». Yeshua aborde aussi la Loi qui se poursuit au-delà de l’énergie de Youd. Youd est la 10e lettre de l’aleph-beth. C’est la plus petite mais la plus puissante. D’où le « iota » cité (version latine de Youd). Le nombre 10 nous ramène, pour sa part, aux Dix Commandements donc à la Loi, que Yeshua accomplit. Il accomplit comment ? Voici des éléments de réponse.

    Déjà, Youd nous amène à distinguer nos envies et nos besoins, à accorder notre volonté à la nécessité. D’ailleurs, vouloir vraiment ce qu’il y a de mieux pour moi, c’est me fier à mes besoins, pas à mes envies.
    Nous pouvons dire aussi que :
    — le but est d’avoir envie de ce que j’ai besoin et non besoin de ce que j’ai envie ;
    — Dieu étant amour mais aussi volonté, si nous sommes une « partie » directe de Dieu à cause de notre particule divine individuelle, alors accordons notre volonté à l’aspiration de nos vrais besoins.

    Youd se rapporte, à part cela, aux notions de destin, de karma. Analogie avec la 10e lame du tarot de Marseille, La Roue de Fortune, dont le bas du dessin de la version Mucha intègre un sablier, symbole associé à la fois :
    — à la Merkabah. La forme du sablier ressemble aux deux triangles de la Merkabah. Le sable qui s’écoule de haut en bas dans le sablier fait penser à l’influence de l’Esprit du haut sur l’Esprit du bas ;
    — au temps qui passe donc à la durée, au destin.
    De plus, puisque, dit Yeshua, pas même un Youd « ne disparaîtra […] de la loi […] jusqu’à que tout soit arrivé », intéressons-nous à la lettre de l’aleph-beth qui suit Youd : Kaph. C’est donc la 11e lettre (maître nombre) de l’aleph-beth symbolisant aussi l’accomplissement, mais ici (pour être précis) dans la maîtrise de soi. N’oublions pas, au passage, la Parabole des ouvriers de la onzième heure (tirée de l’Évangile selon Matthieu), de laquelle nous pou-vons retirer des informations concernant l’évolution de l’Esprit, son ascension et des associations entre le destin des grands prophètes bibliques et les chemins de vie numérologiques classiques (donc 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9).

    Kaph, pour en revenir à elle, c’est l’épanouissement et la manifestation de la puissance de Youd. Ainsi, si Youd représente une main, Kaph est la main tendue, prête à recevoir. Kaph, c’est l’accueil. Son énergie nous rappelle qu’être spirituel c’est savoir accueillir. Accueillir quoi au juste ? Non seulement ce qui nous traverse — et le transcender s’il faut — mais aussi autrui, dans son unicité. C’est, autrement dit, l’accueil de soi, de sa lumière, et des autres avec leur lumière, afin de s'éclairer mutuellement. Antoine Céleste

  • Qui généralement parle en nous ?

    Celui qui parle en nous est très fréquemment l’Esprit du bas, comprenant nos Corps mental et émotionnel. Le langage de l’Esprit du bas — sauf lorsqu’il sert avec fluidité de relais d’informations issues de l’Esprit du haut (l’Esprit tout court) — est celui du mental-ego. Et, lui et l’intuition vibrant dans deux dimensions très proches (dimension 3 pour lui, dimension 4 pour elle), le mental-ego aime imiter l’intuition, donc le langage intuitif et, plus largement, le langage de l’Esprit. Ce qui est limitant. L’information qui me fournit une sensation de mieux-être, de libération, de délivrance, et qui peut aussi bien être transmise par moi-même que par autrui, provient forcément des Énergies du haut (donc des Esprits) — je rappelle que Yeshua veut dire, en hébreu, « délivrance ». Même si cette information est une vérité que je ne souhaitais pas entendre, une partie de moi-même est libérée. Car ce « je » et ce « moi-même » désignent des parties différentes de mon Petit soi, relatif à mon Esprit du bas. Et la partie qui est libérée est celle qui reconnaît volontiers l’énergie forcément bienveillante et émancipatrice de mon Grand soi, relatif à mon Esprit du haut. Inversement, si une information me fait baisser en vibration, elle ne vient certainement pas des Énergies du haut mais bien des Énergies du bas, contenant mes propres programmations et blessures internes mais aussi celles d’autrui, avec lesquelles elles sont plus ou moins en interaction dès lors que je suis dans l’échange avec lui. Dans le Coran, il est écrit au verset 4 :79 : « Tout bien qui t’atteint vient de Dieu, et tout mal qui t’atteint vient de toi-même. Et Nous t’avons envoyé aux gens comme Messager. Et Dieu suffit comme témoin. »
    Si le langage de l’Esprit existe, on le cueille avant tout dans le silence — comparable à la paix comme pont entre la peur et l’amour. Ainsi, un choix effectué uniquement selon notre activité mentale et émotionnelle est un choix de l’Esprit du bas uniquement, donc un choix de l’ego donc non pas un choix de l'Esprit du haut. Antoine Céleste

  • On ne peut être sciemment malveillant

    L’homme grandit spirituellement (et augmente le récipient de lumière de son Esprit) à travers l’ego transcendé et purifié, l’énergie de distorsion nettoyée. Il est vrai que, s’il n’y avait rien à nettoyer ni à purifier, l’homme ne grandirait pas. De plus, je rappelle qu’il existe trois cas fondamentaux d’échanges énergétiques entre deux individus selon que l’un des deux ou les deux inclue(nt) de la malveillance dans ses / leurs pensées et / ou ses / leurs actes : ombre-ombre / ombre-lumière / lumière-lumière. C’est évidemment dans le troisième cas que les choses vont se dérouler le plus agréablement, le plus harmonieusement. Et, en même temps, l’évolution en conscience peut, dans ce cas, être plus lente que dans les deux autres cas car seule l’ombre est à transcender et concerne de vraies dé-couvertes en termes d’expériences terrestres. À vrai dire, ce n’est pas que, dans les deux premiers cas, l’évolution peut être plus rapide. Car, alors, du karma a été créé. Mais c’est justement parce que du karma a été créé qu’il y a une marge de progrès (et d’évolution en conscience) plus importante que dans le troisième cas. C’est comme quand un ami vous conseille de lire un livre et vous dit que, dans un sens, vous avez de la chance de ne pas l’avoir encore lu car sa découverte est encore devant vous, alors que cet ami ne peut plus la vivre (elle est derrière lui) puisqu’il connaît déjà le livre. D’un autre côté, dans le cas d’un échange lumière-lumière, les deux individus, entretenant une relation saine et basée sur l’amour inconditionnel (ils sont, par exemple, de bons amis), sont à un degré d’évolution en conscience plus élevé que dans les deux autres cas, qu’ils ont nécessaire-ment connus dans cette vie ou d’autres vies.

    buddha-face.jpgTout ceci ne signifie pas, pour autant, qu’il faut être sciemment mal-veillant dans le but d’avoir davantage de choses à transcender. Cela n’a, de toute façon, pas de sens. En déterminant la Conscience comme l’intégralité des informations de nos Esprits du bas et du haut, nous ne pouvons pas, dans l’absolu, être « sciemment malveillants ». Celui qui agit de façon malveillante, intrusive, n’a pas profondément conscience des effets nocifs de son acte. Il ignore certaines conséquences de ce dernier. Son empathie est limitée en fonction de choses qu’il n’a pas encore transcendées — et qu’il aura alors tendance à faire vivre aux autres — ou, tout simplement, qu’il n’a pas encore vécues. « Mettez-vous à la place des autres. Si vous y arrivez, vous ne serez plus capable de faire du mal à autrui. » (Bouddha) L’évolution en conscience, c’est la transcendance des expériences donc leur mise en lumière, enclenchant entre autres le nettoyage (ou le balayage) karmique. Et cette évolution dépend bel et bien de l’énergie du cœur. Tout simplement, plus on œuvre avec le cœur — et donc, en vérité, avec l’Esprit —, plus on grandit spirituellement. Antoine C.

  • Marie-Madeleine et L'Etoile dans le tarot de Marseille

    images?q=tbn:ANd9GcT8j1MYnWi84BV6rQejnZjXqGGN6L2w57Dv34j6YVJO5Pjk2vvHbALe personnage féminin de 17/L’Étoile représente Myriam de Magdala (Marie-Madeleine), sans doute enceinte. Au passage, précisons que Myriam de Magdala a plus d’une fois, dans l’histoire, été représentée, sur les peintures, avec un ventre rond. La description de 17/L’Étoile concerne éventuellement une femme enceinte, étant donnée la morphologie du personnage dessiné. 17/L’Étoile c’est, encore, l’amante parfaite ; éventuellement la contrepartie divine ; et Yeshua (Jésus) et Myriam de Magdala forment un couple de contreparties divines. En termes de qualités, 17/L’Étoile c’est la générosité, l’altruisme, le dévouement et même la dévotion. Elle représente une personne serviable, qui, éventuellement, pratique des soins. La nudité du personnage représente la capacité à être, à vivre, au-delà du paraître. C’est aussi le respect de la nature. C’est la sage conscience de ce qui dépasse l’individu avec l’univers et les étoiles. Ce qui permet éventuellement la clairvoyance, la canalisation des forces supérieures. Encore sur un plan spirituel, c’est l’autopurification de l'Esprit du bas, avec ou sans rituels. 17/L’Étoile représente la vertu théologale de l’Espérance sinon, plus largement, les espoirs (d’où l’expression « croire à sa bonne étoile »). On sait, en même temps, mêler destin et destinée avec harmonie en prenant en main sa destinée tout en considérant le destin. Tout ceci correspondrait bien à Myriam de Magdala. Comme ce dernier aspect, plus matériel, et concernant également cet arcane : l’investissement fructueux. En effet, Myriam de Magdala aurait possédé une certaine fortune. Elle lui aurait servi à financer les déplacements de Yeshua.
    Le lien entre 17/L’Étoile et Myriam de Magdala est « signé » dans la mesure où l’un des surnoms de cette femme est… l’Étoile.

    Notons que Phe (ou Pe) — 17e lettre de l’aleph-beth — évoque la bouche qui parle de spiritualité. Phe = Phe + Aleph = 80 + 1 = 81. Et 81 est la va-leur de « anokhi » signifiant en hébreu « je suis ». Pour affirmer « je suis », il faut parler et exister. Phe est la bouche exprimant l’existence.

    Remarquons aussi que Phe est graphiquement un Youd dans un Kaph — autrement dit, la 10e lettre dans la 11e lettre de l’aleph-beth. Ce sont les Dix Commandements (Youd) inscrits dans l’Esprit du haut (l’énergie d’accueil intérieur, de réceptivité profonde du Kaph).

    Or, les Dix Commandements commencent justement par « anokhi », avec « Anokhi HaChèm », qui signifie : « Je suis l’Éternel, ton Dieu. » Le but de Myriam de Magdala est le même que celui de Yeshua : accomplir la Loi. Jean-Yves Leloup est docteur en philosophie, d'abord athée puis converti au christianisme d'Orient après avoir vécu une expérience de mort imminente (E.M.I.) — donc un walk-in (les walk-in, et surtout dans les cas d’E.M.I., favorisent les révélations divines).
    Dans son ouvrage intitulé L’Évangile de Marie, ce monsieur écrit que l’Évangile selon Marie-Madeleine « nous rappelle que la grande Loi, c’est d’aimer, que de cet Amour Yeshoua fut le Témoin, et qu’aimer ce n’est pas être esclave de la Loi, c’est la dépasser en l’accomplissant ».

    Myriam de Magdala a un statut de prophétesse — dans le tarot de Mar-seille, on peut donc, en passant, la comparer à 2/La Papesse, ce qui sou-ligne son association avec Yeshua comparé à 5/Le Pape. Ceci, dans un sens, explique la jalousie de Simon Bar Jona (Pierre) à son égard, la « bataille des chefs » que lui et Myriam de Magdala auraient opérée après la mort de Yeshua, même si seul Simon cherchait des noises. Leloup écrit encore : « Non seulement Myriam de Magdala est une femme, mais une femme qui aurait accès à la « connaissance ». Et c'est en ce sens, sans doute, qu'elle était, à l'époque de Yeshoua, considérée comme « pécheresse » ; elle ne se conforme pas aux lois d'une société où la connaissance est affaire d'hommes et où les femmes n'ont pas le droit d'étudier les secrets de la Thora ni d'interroger les chiffres clairs ou obscurs de ses lettres carrées. Les discours qu'elle tient aux disciples ne peuvent que les irriter. »
    Aurait succédé la fuite de Myriam de Magdala depuis l’Égypte vers la Méditerranée, pour ensuite donner naissance à Sarah au sud-est de la future France. Je rappelle l’intégralité du premier Commandement : « Je suis l'Éternel, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude. » Si la sortie en question était, à l’origine, valable pour Moïse et le peuple d’Israël, il semble calquer également au destin de Myriam de Magdala.
    Dans un sens plus large, la lettre Phe désigne les échanges entre tous les êtres dans tous les domaines. Ce qui colle bien, encore une fois, à Myriam de Magdala, étant une prophétesse qui, en plus, aurait apporté de l’argent à la cause christique. Au passage, comme 1 + 7 = 8, certaines de ces informations peuvent être associées au 8 numérologique, signifiant l’abon-dance matérielle et/ou spirituelle .
    Enfin, Phe symbolise l’immortalité, ce qui fait écho avec ce passage du théologien Hippolyte de Rome, affirmant que Myriam de Magdala, ou Marie-Madeleine, c’est « Ève [association avec la contrepartie divine] qui désormais ne s’égare plus [allusion au péché originel], mais saisit de toutes ses forces l’arbre de vie [symbolisant, dans la Bible, l’immortalité]. Après cela le Christ l’envoie comme apôtre aux apôtres. Ô merveilleux renversement : Ève devient apôtre. » Et ce qui immortel est éternel. Retour sur le précédent Commandement. (Antoine C.)

  • La peur : à l'origine de tout acte malveillant

    3087368102_24b01939cc_b.jpgSi la peur n’engendre pas forcément une conduite malveillante chez la personne qui la porte, il existe de la peur dans toute attitude malveillante. Dans la très célèbre série de films Star Wars, le personnage Maître Yoda nous dit : « La peur est le chemin vers le côté obscur : la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance. » En affirmant cela, on dirait que Maître Yoda remonte verticalement les différents corps énergétiques associés aux Énergies du bas (Corps terrestres). La peur est concernée par les énergies d’un chakra racine (premier chakra) sous-actif. On retrouve la colère ou encore l’angoisse dans les énergies d’un chakra sacré (second chakra) sur-actif. Quant à la haine, elle est entretenue dans le mental à travers les énergies d’un chakra solaire (troisième chakra) sur-actif. Ce sont bien ces chakras qui sont reliés aux Corps terrestres – à savoir, du moins large au plus large, les corps éthérique, émotionnel et mental. Et ces derniers, puisque contenant l’ego, forment le corps potentiellement souffrant. Une conduite malveillante est forcément l’œuvre de l’ego. Et être dans la colère et la haine n’est sympathique pour personne – ni pour celle qui les nourrit ni pour l’entourage qui en subit les conséquences.
    Par ailleurs, c’est plus d’une fois de l’inconnu dont on a peur. Ce qui est inconnu est ce qui est ignoré (on en revient à l’ignorance) donc ce qui n’est pas encore conscientisé donc mis en lumière et transcendé. La colère est plus passagère que la haine. On peut schématiser les choses ainsi : la colère, c’est davantage d’émotions que de mental, la haine le contraire. D’où leurs liens respectifs avec les chakras sacré et solaire. On a de la haine ou de la colère parce qu’on ne comprend pas l’autre, parce qu’on ne part pas réellement à sa rencontre et qu’éventuellement l’autre lui-même ne part pas à sa propre rencontre. Quelle est la raison fondamentale de cette impossibilité à se comprendre, à aller à la rencontre de l’autre ? La peur.
    Je cite à nouveau Maître Yoda : « L'attachement mène à la jalousie. À l'ombre de la convoitise, il grandit. » Seuls les egos s’attachent entre eux. Quant à la jalousie, avec ses conséquences faites éventuellement de colères et de haine, elle peut tout simplement s’expliquer par la peur de perdre l’autre à travers le lien qu’on a avec lui. Seulement, l’autre ne nous appartient pas. Quid de la peur de perdre l’autre en raison de la mort ? Maître Yoda est clair : « La mort est un élément naturel de la vie. La peur de perdre l'autre mène au côté obscur. »
    La haine et la colère peuvent être également le fruit de l’inacceptation d’une situation plus globale, par exemple d’une situation sociale difficile, qui n’est pas liée directement à des individus. Il ne s’agit pas de juger cette haine ni cette colère. Elle peut, par certains côtés, se comprendre. Elles nourrissent cependant de la souffrance, forcément relative à une peur ; en l’occurrence, celle des lendemains encore plus difficiles. Aussi, l’incertitude nourrit souvent des peurs. Mais qui cherche à être rassuré si ce n’est le mental-ego ? Cela ne veut pas dire qu’il faut accepter n’importe quelle situation. Mais il faut toujours la transcender un minimum pour pouvoir la changer. Il faut la changer intérieurement pour ensuite pouvoir la changer extérieurement, dans la matière. Et cette transcendance est impossible sans s’assurer des instants de paix intérieure. Maître Yoda nous dit : « Exerce ta volonté à renoncer à tout ce que tu redoutes de perdre un jour. »
    On peut prendre une quantité d’exemples avec la peur, s’intéresser à toutes ses formes. Tout ceci était pour dire ici que, derrière tout agissement malveillant, il existe un fond de peur. Pour que les êtres humains s’aiment dans leur ensemble, ils doivent savoir se pardonner. Et ce, via l’authentique pardon, celui qui résonne dans le cœur. Antoine C.

  • Comme une partie de tennis (numérologie)

    2101938-44033976-1600-900.jpgImaginons, un match de tennis. Comparons :
    — les deux joueurs qui s'affrontent à deux personnes avec chemin de vie classique ;
    — leurs échanges et les points que marque chacun d’eux au karma mutuellement balayé et nettoyé — autrement dit, aux énergies, négatives ou positives, de transformation d’une distorsion en qualité ou d’une qualité en distorsion ;
    — l'arbitre du match à une personne avec chemin de vie « maître nombre », présent pour « compter les points » et veiller à ce que le jeu se joue avec un minimum de règles assurant l'équité. Ce jeu peut être comparé au « jeu de Dieu » avec les règles karmiques et de raffinement du matériau spirituel.

    Une personne en chemin de vie 1 peut donc être l'un des joueurs, qui, en l'occurrence, joue son tout premier match de sa carrière (toute première incarnation). Donc son entraîneur (pouvant être comparé à la providence divine) lui excuse toutes ses erreurs (ses mauvais placements sur le terrain, ses balles loupées, etc.).  Il n’empêche que, totalement méconnu pour son adversaire, il est imprévisible et peut surprendre ce dernier. Il lui crée donc des difficultés — comparables à la génération de karma propre au rôle divin de la personne en chemin de vie 1.

    Un arbitre corrompu, qui n'est pas impartial, peut être, quant à lui, comparé à une personne en chemin de vie « maître nombre » qui ne s'est pas « éveillée » et qui, donc, vit excessivement dans l'ego, évolue trop selon son Énergie du bas.

    Enfin, une personne concernée par un walk-in peut être comparée à un joueur devenu arbitre mais qui, parfois, veut rejouer un peu. Nous ne pouvons pas, cependant, être arbitre et joueur à la fois. La personne en question s'aligne dès lors qu'elle reste en place — en l'occurrence, dans son rôle d'arbitre — au cours de périodes plus longues. Antoine